Un tsunami de sentiments incontrôlables, qu'on ne peu pas nier, se révèlent par nos mains unis, inséparables, comme des mains qui se touchent ou se font signe aléatoirement sans peur, parce qu'ils savent qu'ils s'appartiennent inconditionnellement.
On dirait qu'on s'aime, parfois
Une immensité de filtres sinueux et qui colle entre eux, maintiennent ton image intouchable, intacte, comme quelqu'un qui saute sans filet se sachant derrière une barrière qu'on ne peut atteindre.
On dirait que ta raison, parfois
Un cylindre de charbon qui casse, à chaque fois qu'on l'aiguise dans un crayon que ne voulez pas s'arrêter d'écrire.
Un sol qui s'ouvre, à chaque fois que j'essaye de m'approcher d'un être que j'ai parfois du mal à reconnaitre.
On dirait que j'ai la haine, parfois
Ne me laisse pas dans cet aveuglement.
Je suis incapable de voir ton âme sous cet cape ou tu te caches de moi.
Je veux l'amour de tes yeux qui se reflètent sur les miens.
Je veux la lumière qui m'illumine en toi, parfois
Moi en Moi
06/11/2009
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire