Moi pour Toi
20/03/2009
Peut-être que je vais vieillir trop vite.
Mais je vais lutter pour que chaque jour qui me reste vaut la peine.
Peut-être que je vais être déçu au long de ma vie.
Mais ça n'a pas d'importance face à l'amour que j'au trouvé.
Peut-être que je n'aurez pas la force de tout réaliser.
Mais jamais je ne me donnerai comme vaincu !
Peut-être que je tomberai très souvent.
Mais jamais je ne resterai trop long temps par temps pour me lever plus fort.
Peut-être un jour il n'y aura plus de soleil.
Mais je prendrais des bains de pluie.
Peut-être je serait victime d'injustices.
Mais jamais j'aurez le rôle de victime.
Peut-être que je devrais faire face à des ennemis.
Mais j'accepterais toujours une main tendue.
Peut-être une de ces nuits je verserez beaucoup de larmes.
Mais jamais je n'aurez honte de le faire.
Peut-être on me trompera plusieurs fois.
Mais il y aura toujours quelqu'un qui méritera ma confiance.
Peut-être que'avec le temps je comprendrez que j'ai fait des erreurs.
Mais je n'arrêterais jamais mon chemin.
Peut-être que'avec le temps je vais perdre beaucoup d'amis.
Mais j'aurez la preuve que les vrais ne sont jamais perdus.
Peut-être que je serais triste de ne pas savoir suivre la musique.
Mais je ferais en sorte que la musique suivent le compas de mes pas.
Peut-être que plus jamais je ne verrez un arc en ciel.
Mais je dessinerai un ne fut ce que dans mon cœur.
Peut-être qu'aujourd'hui je me sent faible.
Mais je recommencerai demain d'une façon différente.
Peut-être que jamais je n'apprendrais les leçons nécessaires.
Mais je suis conscient que les vrais enseignements sont déjà gravés dans mon âme.
Peut-être que je déprimerai de ne pas comprendre la musique.
Mais je serez heureux de pouvoir l'entendre.
Peut-être que je n'aurez pas de motifs pour des grandes commémorations.
Mais je serait déjà heureux de mes petites réussites.
Peut-être que la volonté de tout abandonner fasse partie de moi.
Mais au lieu de fuir je vais ccourir encore plus vite jusqu'a l'arrivé.
Peut-être que je ne suis pas exactement qui j'aimerai être.
Mais je vais finir par aimer qui je suis.
Finalement je saurais que même avec beaucoup de doutes je serais capable de construire une vie meilleur.
Et même si je ne suis pas encore convaincu c'est parce que, comme on dis 'la fin n'est pas encore arrivé'.
Parce que à la fin il n'y aura plus de 'peut-être', mais la certitude que ma vie a valu la peine et que j'ai tout fait de mon mieux pour y arriver.
Encore pire que la conviction du non et l'incertitude du peut-être, c'est la désillusion du presque.
Et c'est le presque qui me dérange, qui me rend triste, qui me tue, me ramenant tout ce qui aurais pu être et le fut pas !
Qui presque à gagner, continue à jouer…
Qui presque est mort, vis encore…
Qui presque à aimer, n'a pas aimé…
Il suffit de penser aux opportunités qui s'échappent entre les doigts, dans les chances qu'on perd par peur dans les idées qui resteront sur papier…
Je me demande, parfois, ce qui nous amène à choisir une vie si monotone.
La réponse je la connais par cœur, elle est écrite dans la distance et la froideur des sourires, dans la légèreté d'une poignée de main…
Il manque du courage même pour être heureux.
La passion brûle, l'amour nous rend fous, le désir nous trahi…
Peut-être que ces motifs serait ils suffisants pour décider entre le bonheur et la douleur…
Le moyen terme n'existe pas ou alors la mer ne ferait pas de vagues et l'arc en ciel serait gris !
Le vide ne nous illumine pas, ne nous inspire pas, il fait à peine grandir cet impression d'impuissance que chacun ballade avec soit à l'intérieur de son âme.
Pour les choses qui ne peuvent pas être changés il nous reste patienter, préféré la défaite calculé au doute de la victoire c'est gâcher l'opportunité du mérite.
Pour les erreurs, il y a le pardon…
Pour les déceptions, il y a l'espoir…
Pour les amours impossibles, il y a le temps.
Encercler un cœur vide, ne sert à rien !
Une histoire d'amour ou la fin est instantané, ou sans douleur, ce n'est pas une histoire d'amour.
Il ne faut pas laisser que la nostalgie tue, que la routine nous envahi, que la peur nous empêche d'essayé.
Méfions nous du destin et faisons nous confiance.
Il faut dépenser plus de temps à réalisé qu'a rêver, à faire qu'a planifier, à vivre qu'a attendre, parce que même si celui que presque meurt est vivant, celui que presque vis est déjà mort.
Moi en Moi
25/02/09
Je ne suis q'un nuage égaré dans la solitude d'un ciel ou les étoiles s'ennuient...